La mode est à l’écologie ; tous les milieux politiques, religieux (encyclique Laudato si du pape François en 2015), associatifs en parlent. Si cet intérêt pour la préservation de notre planète est légitime, il est malheureusement détourné à des fins idéologiques qui visent notamment à détruire la famille.
A la suite d’actions menées par des lobbies bien organisés et qui bénéficient de relais médiatiques particulièrement performants, plusieurs courants de pensée se sont fait entendre ces derniers mois pour mettre en garde les politiques et les gouvernements contre les dangers d’un accroissement mondial de la population. Comme beaucoup d’autres, ce mouvement d’opinion est international et se fait sentir en plusieurs endroits du globe de façon concertée : cette simple observation conduit à conclure légitimement qu’il n’est pas le fruit du hasard mais d’une volonté bien établie. A l’ entendre, c’est le trop grand nombre d’hommes qui met en danger la planète. L’équation qu’ils proposent est d’une grande simplicité : un homme produit du CO² donc il pollue d’autant ; il faut par conséquent limiter le nombre d’hommes sur terre pour faire baisser les émissions de CO². Leur logique est imparable…